Noël au Manoir, anniversaire au plumard...
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Harry Potter › Slash - Male/Male › Harry/Draco
Rating:
Adult +
Chapters:
6
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Reviews:
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Disclaimer:
I do not own Harry Potter, nor any of the characters from the books or movies. I do not make any money from the writing of this story.
Face à face nocturne
Hello there. I found out a few days ago that there was a special category on aff for fics in another langage (french for example !). Well, I will post there too, but I will continue here also. So enjoy (for those who try to understand in french)
Time for Draco to go and find the one who had the bad idea of beginning the rumor (bad bad Harry)
Chapitre six : Face à face nocturne
Il est presque minuit, et la bibliothèque est déserte. Harry y est revenu après le repas. Il ne supportait plus les plaisanteries de la salle commune des Gryffondor sur les nuits endiablées de Draco Malfoy la fouine et Gregory Goyle le gorille : improbable descendance, disent les uns, intéressant croisement, soutiennent les autres, qui espèrent ainsi voir s’enrichir le bestiaire magique d’une nouvelle créature. Neville a même essayé de la dessiner, pour voir ce que ça donnait.
Harry en est malade. Il a allumé une lampe et est venu s’installer par terre, entre les rayonnages, invisible depuis la porte d’entrée. Il a pris sa cape d’invisibilité, qui est roulée en boule dans une des poches de son sac, au cas où Rusard viendrait inspecter ce coin. Mais la bibliothèque est un endroit relativement sûr, les élèves les plus âgés peuvent venir y travailler tard le soir sans courir le risque d’une sanction.
Harry a donc choisi un livre, épais et lourd, sur les sorts de défense de haut niveau, mais il ne le lit pas vraiment.
Il est écoeuré.
Malfoy qui rejoint Goyle dans son lit. Ou l’inverse…
C’est une rumeur, Harry, voyons !! C’est toi qui l’as lancée, alors tu le sais mieux que personne. Rien-N’est-Vrai !! Goyle ne se tape pas ton petit chéri…
Oui mais maintenant tout le monde le croit. Et aussi paradoxal que cela puisse paraître, c’est moi que cela fait souffrir, pas Malfoy. Lui, je l’observe depuis des jours, et… et… eh bien, il n’a pas eu l’air de le prendre mal.
Peut être que c’est juste moi qu’il n’aime pas.
Bien sûr qu’il ne t’aime pas ! Il te hait même carrément !!
…
Oui mais s’il pouvait juste me désirer un petit peu.
Un bruit infime. Comme un glissement. Harry sort de sa rêverie, et relève sa tête qui était tombée entre ses deux mains.
Ca fait plusieurs fois qu’il entend ça. Il a l’impression d’être…observé…
Sa cicatrice l’élance un peu, comme d’habitude, et Harry passe négligemment ses doigts sur le petit éclair qui marque son front. Depuis l’année précédente, ses douleurs sont quasi-permanentes. Harry ne les craint plus. Il sait qu’avec le retour en puissance de Voldemort, il est normal qu’il souffre. Le jour où il n’aura plus mal, c’est qu’il aura achevé son ennemi, ou bien que lui même sera mort…
A nouveau, un bruit infime, mais sur sa gauche maintenant. Harry plisse les yeux derrière ses lunettes, mais ne distingue rien en dehors du cercle lumineux que projette sa lampe. Tout est sombre. Et ses lunettes sont si crasseuses ! Pouah ! Des marques de doigt à ne plus savoir qu’en faire.
Harry retire ses binocles, et après avoir soufflé sur les verres, il commence à les frotter avec sa chemise. Il n’a pas le temps de comprendre ce qui arrive ensuite. Un bruit de pas précipité lui fait lever la tête, mais sans ses lunettes, et avec la fatigue, il ne distingue qu’une silhouette…
BAM !!
Il se retrouve collé à terre, un Malfoy furieux mais ricanant lui plaquant les mains au sol, ses jambes entourant les siennes pour l’immobiliser.
« Malfoy ? Qu’est ce qui te prend ? »
« Potter, mon petit pote Potter, on ne t’a jamais dit que c’était mal de lancer des rumeurs ? »
Harry déglutit.
« C…comment as-tu su que c’était moi ? »
Oups. Il n’aurait pas du dire ça. Comme quoi, n’est pas Serpentard qui veut. Draco Malfoy n’en revient visiblement pas de cet aveu.
Merde. Il n’était pas volontaire. J’aurais mieux fait de me taire, et de nier ensuite.
« Potter », reprend Malfoy, qui a arrêté de sourire et parait prêt à mordre. « Que tu fasses de mes nuits un enfer, passe encore… Mais que tu me gâches mes journées avec tes histoires perverses… Moi et Goyle ? Oh, voyons Potter, et pourquoi pas moi et toi tant qu’on y est ? Tu as vraiment beaucoup de saloperies dans ta jolie petite tête brune ».
Il serre un peu plus fort son emprise sur les poignets de Harry, et celui-ci commence à ressentir de la douleur.
Mais il n’arrive pas à faire rentrer dans son crâne les quatre mots qu’il vient d’entendre. Jolie petite tête brune ?!? Malfoy a vraiment dit ça ?
« Tu… te fous de moi, c’est ça ? »
« Tu m’as insulté, Potter. Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, je suis un esthète. J’aime ce qui est beau. Alors Grégory… » Malfoy grimace, puis reprend. « Mais bien sûr, tu n’es pas très original, c’est Vincent et Théo qui t’ont donné cette idée. »
Ce n’est même pas une question. Au grand dam de Harry, Malfoy semble n’avoir aucun mal à reconstituer son raisonnement, et le plan foireux qui en a découlé. Il le regarde avec mépris, ses yeux plantés dans ceux du Gryffondor qui cesse de se débattre peu à peu.
« Et tout ça pour m’humilier ? Mais voyons, Potter, si tu voulais m’humilier, il suffisait de raconter comment tu as profité de moi l’autre nuit… »
« Je ne peux pas », murmure Harry, désespéré. « C’est trop intime. »
Malfoy s’écarte brutalement, les yeux écarquillés. A-t-il seulement bien entendu ? Ce bâtard n’a pas pu dire une chose aussi…
Harry est allongé sur le sol. Ses lunettes ont valsé quelque part sous les rayonnages (tiens, c’est la deuxième fois que ça arrive) et ses yeux d’un vert intense laissent voir toute sa confusion.
Malfoy sent les jambes de Harry contre les siennes. Cela lui rappelle certains de ses rêves. Un Potter, allongé, déterminé mais effrayé, qui attend de Draco les caresses qui libèreront toute sa sensualité. La proximité et la chaleur de leurs corps soudés dans la lutte les troublent tous les deux, et font rosir les joues de Harry. Malfoy croit voir dans l’éclat humide des yeux de Harry le reflet pudique de ses propres désirs, tandis que Harry perçoit sur les lèvres gourmandes de Draco l’envie et l’attrait irrésistible qui les poussent l’un vers l’autre.
Harry renverse la tête en arrière, et ferme à demi ses beaux yeux verts.
Pour Draco, la provocation est trop grande, et il sent une vague de désir monter dans son bas ventre. Son cœur s’accélère, et sa bouche est desséchée.
« Est-ce que tu m’embrasserais encore si tu en avais l’occasion ? »
La question de Malfoy est si étrange, et sa voix si rauque – si sensuelle -, que Harry hésite à répondre.
« Oui », souffle t-il au bout d’un long moment.
Draco semble réfléchir, puis il se lève et s’en va sans se retourner, laissant Harry allongé dans la bibliothèque.
Harry a pleuré presque toute la nuit, à l’abri derrière les rideaux tirés de son lit. Puis il s’est résigné.
Même si ses rêves n’ont pas disparu.
Même si le Serpentard blond est toujours l’objet de ses fantasmes.
Même si maintenant, il peut se souvenir du plaisir insensé qu’il a ressenti à sentir le poids du corps de Malfoy au dessus et contre lui… Sa respiration saccadée qui venait mourir sur ses lèvres. Cet éclat indéfinissable dans ses prunelles grises. Et ce cognement précipité dans sa poitrine qui faisait écho à ses propres battements de cœur affolés. Il sent encore le fantôme des mains de Malfoy sur ses poignets.
Quelques jours plus tard, la rumeur de la liaison entre Malfoy et Goyle n’intéresse plus personne. Chacun reconnaît que c’est drôle, mais probablement faux. Et Malfoy n’a pas changé de comportement envers ses gardes du corps. Ou amis. Personne ne sait vraiment comment appeler la relation qui lie l’héritier Malfoy aux deux grands bêtas qui le suivent comme son ombre.
En revanche, le blond est plus imbuvable que jamais, et lors du match de Quidditch Poufsouffle / Serpentard, il réussit l’exploit de devenir le joueur le plus impopulaire depuis la création de ce sport. Hannah Habbott, une élève de Poufsouffle jouant comme Poursuiveuse, termine le match à l’infirmerie.
« Pour les Poufsouffle », raille Malfoy à la fin du match, « on devrait organiser des tournois de bataille de polochon. Au-delà, c’est trop dur pour eux ! »
Son équipe éclate d’un grand rire. C’est une belle journée, froide et coupante mais ensoleillée, et le score du match les rend ivres de bonheur.
« Aviez vous déjà remarqué d’ailleurs » note Draco en se pinçant les lèvres, « qu’il y a beaucoup plus de Sang de Bourbe à Poufsouffle qu’ailleurs ? Ceci explique sans doute cela… ».
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Oui, je sais, la plupart d’entre vous se disent : « mais qu’est ce qu’on t’a fait pour que tu nous frustres comme ça ?!!!?? Draco avait une occasion en OR !!!!! » Ben oui, je sais. Mais c’est plus drôle comme ça (enfin pour moi en tout cas…) !!!!
Mais allez, ce n’est qu’une occasion manquée… Il se rattrapera la prochaine fois… Quant au pov’chti Harry, je suis sûre que vous êtes pleins à vouloir aller le consoler…
Time for Draco to go and find the one who had the bad idea of beginning the rumor (bad bad Harry)
Chapitre six : Face à face nocturne
Il est presque minuit, et la bibliothèque est déserte. Harry y est revenu après le repas. Il ne supportait plus les plaisanteries de la salle commune des Gryffondor sur les nuits endiablées de Draco Malfoy la fouine et Gregory Goyle le gorille : improbable descendance, disent les uns, intéressant croisement, soutiennent les autres, qui espèrent ainsi voir s’enrichir le bestiaire magique d’une nouvelle créature. Neville a même essayé de la dessiner, pour voir ce que ça donnait.
Harry en est malade. Il a allumé une lampe et est venu s’installer par terre, entre les rayonnages, invisible depuis la porte d’entrée. Il a pris sa cape d’invisibilité, qui est roulée en boule dans une des poches de son sac, au cas où Rusard viendrait inspecter ce coin. Mais la bibliothèque est un endroit relativement sûr, les élèves les plus âgés peuvent venir y travailler tard le soir sans courir le risque d’une sanction.
Harry a donc choisi un livre, épais et lourd, sur les sorts de défense de haut niveau, mais il ne le lit pas vraiment.
Il est écoeuré.
Malfoy qui rejoint Goyle dans son lit. Ou l’inverse…
C’est une rumeur, Harry, voyons !! C’est toi qui l’as lancée, alors tu le sais mieux que personne. Rien-N’est-Vrai !! Goyle ne se tape pas ton petit chéri…
Oui mais maintenant tout le monde le croit. Et aussi paradoxal que cela puisse paraître, c’est moi que cela fait souffrir, pas Malfoy. Lui, je l’observe depuis des jours, et… et… eh bien, il n’a pas eu l’air de le prendre mal.
Peut être que c’est juste moi qu’il n’aime pas.
Bien sûr qu’il ne t’aime pas ! Il te hait même carrément !!
…
Oui mais s’il pouvait juste me désirer un petit peu.
Un bruit infime. Comme un glissement. Harry sort de sa rêverie, et relève sa tête qui était tombée entre ses deux mains.
Ca fait plusieurs fois qu’il entend ça. Il a l’impression d’être…observé…
Sa cicatrice l’élance un peu, comme d’habitude, et Harry passe négligemment ses doigts sur le petit éclair qui marque son front. Depuis l’année précédente, ses douleurs sont quasi-permanentes. Harry ne les craint plus. Il sait qu’avec le retour en puissance de Voldemort, il est normal qu’il souffre. Le jour où il n’aura plus mal, c’est qu’il aura achevé son ennemi, ou bien que lui même sera mort…
A nouveau, un bruit infime, mais sur sa gauche maintenant. Harry plisse les yeux derrière ses lunettes, mais ne distingue rien en dehors du cercle lumineux que projette sa lampe. Tout est sombre. Et ses lunettes sont si crasseuses ! Pouah ! Des marques de doigt à ne plus savoir qu’en faire.
Harry retire ses binocles, et après avoir soufflé sur les verres, il commence à les frotter avec sa chemise. Il n’a pas le temps de comprendre ce qui arrive ensuite. Un bruit de pas précipité lui fait lever la tête, mais sans ses lunettes, et avec la fatigue, il ne distingue qu’une silhouette…
BAM !!
Il se retrouve collé à terre, un Malfoy furieux mais ricanant lui plaquant les mains au sol, ses jambes entourant les siennes pour l’immobiliser.
« Malfoy ? Qu’est ce qui te prend ? »
« Potter, mon petit pote Potter, on ne t’a jamais dit que c’était mal de lancer des rumeurs ? »
Harry déglutit.
« C…comment as-tu su que c’était moi ? »
Oups. Il n’aurait pas du dire ça. Comme quoi, n’est pas Serpentard qui veut. Draco Malfoy n’en revient visiblement pas de cet aveu.
Merde. Il n’était pas volontaire. J’aurais mieux fait de me taire, et de nier ensuite.
« Potter », reprend Malfoy, qui a arrêté de sourire et parait prêt à mordre. « Que tu fasses de mes nuits un enfer, passe encore… Mais que tu me gâches mes journées avec tes histoires perverses… Moi et Goyle ? Oh, voyons Potter, et pourquoi pas moi et toi tant qu’on y est ? Tu as vraiment beaucoup de saloperies dans ta jolie petite tête brune ».
Il serre un peu plus fort son emprise sur les poignets de Harry, et celui-ci commence à ressentir de la douleur.
Mais il n’arrive pas à faire rentrer dans son crâne les quatre mots qu’il vient d’entendre. Jolie petite tête brune ?!? Malfoy a vraiment dit ça ?
« Tu… te fous de moi, c’est ça ? »
« Tu m’as insulté, Potter. Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, je suis un esthète. J’aime ce qui est beau. Alors Grégory… » Malfoy grimace, puis reprend. « Mais bien sûr, tu n’es pas très original, c’est Vincent et Théo qui t’ont donné cette idée. »
Ce n’est même pas une question. Au grand dam de Harry, Malfoy semble n’avoir aucun mal à reconstituer son raisonnement, et le plan foireux qui en a découlé. Il le regarde avec mépris, ses yeux plantés dans ceux du Gryffondor qui cesse de se débattre peu à peu.
« Et tout ça pour m’humilier ? Mais voyons, Potter, si tu voulais m’humilier, il suffisait de raconter comment tu as profité de moi l’autre nuit… »
« Je ne peux pas », murmure Harry, désespéré. « C’est trop intime. »
Malfoy s’écarte brutalement, les yeux écarquillés. A-t-il seulement bien entendu ? Ce bâtard n’a pas pu dire une chose aussi…
Harry est allongé sur le sol. Ses lunettes ont valsé quelque part sous les rayonnages (tiens, c’est la deuxième fois que ça arrive) et ses yeux d’un vert intense laissent voir toute sa confusion.
Malfoy sent les jambes de Harry contre les siennes. Cela lui rappelle certains de ses rêves. Un Potter, allongé, déterminé mais effrayé, qui attend de Draco les caresses qui libèreront toute sa sensualité. La proximité et la chaleur de leurs corps soudés dans la lutte les troublent tous les deux, et font rosir les joues de Harry. Malfoy croit voir dans l’éclat humide des yeux de Harry le reflet pudique de ses propres désirs, tandis que Harry perçoit sur les lèvres gourmandes de Draco l’envie et l’attrait irrésistible qui les poussent l’un vers l’autre.
Harry renverse la tête en arrière, et ferme à demi ses beaux yeux verts.
Pour Draco, la provocation est trop grande, et il sent une vague de désir monter dans son bas ventre. Son cœur s’accélère, et sa bouche est desséchée.
« Est-ce que tu m’embrasserais encore si tu en avais l’occasion ? »
La question de Malfoy est si étrange, et sa voix si rauque – si sensuelle -, que Harry hésite à répondre.
« Oui », souffle t-il au bout d’un long moment.
Draco semble réfléchir, puis il se lève et s’en va sans se retourner, laissant Harry allongé dans la bibliothèque.
Harry a pleuré presque toute la nuit, à l’abri derrière les rideaux tirés de son lit. Puis il s’est résigné.
Même si ses rêves n’ont pas disparu.
Même si le Serpentard blond est toujours l’objet de ses fantasmes.
Même si maintenant, il peut se souvenir du plaisir insensé qu’il a ressenti à sentir le poids du corps de Malfoy au dessus et contre lui… Sa respiration saccadée qui venait mourir sur ses lèvres. Cet éclat indéfinissable dans ses prunelles grises. Et ce cognement précipité dans sa poitrine qui faisait écho à ses propres battements de cœur affolés. Il sent encore le fantôme des mains de Malfoy sur ses poignets.
Quelques jours plus tard, la rumeur de la liaison entre Malfoy et Goyle n’intéresse plus personne. Chacun reconnaît que c’est drôle, mais probablement faux. Et Malfoy n’a pas changé de comportement envers ses gardes du corps. Ou amis. Personne ne sait vraiment comment appeler la relation qui lie l’héritier Malfoy aux deux grands bêtas qui le suivent comme son ombre.
En revanche, le blond est plus imbuvable que jamais, et lors du match de Quidditch Poufsouffle / Serpentard, il réussit l’exploit de devenir le joueur le plus impopulaire depuis la création de ce sport. Hannah Habbott, une élève de Poufsouffle jouant comme Poursuiveuse, termine le match à l’infirmerie.
« Pour les Poufsouffle », raille Malfoy à la fin du match, « on devrait organiser des tournois de bataille de polochon. Au-delà, c’est trop dur pour eux ! »
Son équipe éclate d’un grand rire. C’est une belle journée, froide et coupante mais ensoleillée, et le score du match les rend ivres de bonheur.
« Aviez vous déjà remarqué d’ailleurs » note Draco en se pinçant les lèvres, « qu’il y a beaucoup plus de Sang de Bourbe à Poufsouffle qu’ailleurs ? Ceci explique sans doute cela… ».
--------------------------------------------------------------------------------
Oui, je sais, la plupart d’entre vous se disent : « mais qu’est ce qu’on t’a fait pour que tu nous frustres comme ça ?!!!?? Draco avait une occasion en OR !!!!! » Ben oui, je sais. Mais c’est plus drôle comme ça (enfin pour moi en tout cas…) !!!!
Mais allez, ce n’est qu’une occasion manquée… Il se rattrapera la prochaine fois… Quant au pov’chti Harry, je suis sûre que vous êtes pleins à vouloir aller le consoler…